Bain d'amour
Je laisse en jachère ce blog, sur le bureau s'entasse le courrier, je ne compte plus les jours, ne vois ni le soleil ni la pluie. Tout se résume à tes bras. Plus rien n'arrive à me détourner de ce seul plaisir.
Celui des mots chuchotés, écrits ou chantés. Celui de la caresse qui parcoure la peau et fait naître la vague. Celui des regards silencieux chargés de sens. Celui du quotidien partagé, du réveil souriant, du sommeil léger, du café à deux. Celui des rages muettes, des pleurs de peur, des exquises réconciliations.
Je t'aime et tu m'aimes. A l'instant, dans l'instant, sans avant et sans après peut-être.
Qu'importe !
Je m'emplis de douceur, je plonge dans ce bain d'amour sans m'inquiéter de rien d'autre que de nous, de ta main qui retient mes doigts, de ton souffle qui se mêle au mien, de nos pensées qui s'entrelacent.
Notre rencontre est une folie, un pied-de-nez à la sagesse, une farce pour la raison. L'inverse de l'évidence. Notre relation a le goût sucré de la certitude.
Comment fais-tu ?
Celui des mots chuchotés, écrits ou chantés. Celui de la caresse qui parcoure la peau et fait naître la vague. Celui des regards silencieux chargés de sens. Celui du quotidien partagé, du réveil souriant, du sommeil léger, du café à deux. Celui des rages muettes, des pleurs de peur, des exquises réconciliations.
Je t'aime et tu m'aimes. A l'instant, dans l'instant, sans avant et sans après peut-être.
Qu'importe !
Je m'emplis de douceur, je plonge dans ce bain d'amour sans m'inquiéter de rien d'autre que de nous, de ta main qui retient mes doigts, de ton souffle qui se mêle au mien, de nos pensées qui s'entrelacent.
Notre rencontre est une folie, un pied-de-nez à la sagesse, une farce pour la raison. L'inverse de l'évidence. Notre relation a le goût sucré de la certitude.
Comment fais-tu ?